"Pour débusquer les homosexuels, les policiers ne se contentaient pas d'attendre les dénonciations. La police et la Gestapo étaient à l'affût et épiaient les individus. On pouvait obtenir des preuves sur un suspect en interceptant son courrier. Les lettres d'amour confisquées étaient lues en plein tribunal et livrées en pâture au public, comme tous les autres éléments de la vie privée de l'accusé."

Texte : Exposition en ligne d'HOSI WIen : "Lost Lives : Nazi Persecution of Homosexuals in Vienna, 1938-45"

Photo : Rapport de police relatif à une interception de courrier. Dossier 768/1942. Première cour régionale de Vienne. (Polizeibericht. Aus dem Akt 768/1942 des Ersten Wiener Landgerichtes.) Bestand des Wiener Stadt- und Landesarchives.

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